Sponsors partenaires du MCF, informations et conditions par mail : CONTACT | |||||||
|
La Grippe aviaire Santé animale Agriculture Sécurité sanitaire Vaccinations |
Les problèmes de santé de nos volailles sont trop souvent très techniques.
Maîtriser toutes ces questions est souvent une affaire de passionnés qui ne comptent pas leurs efforts
pour accumuler les renseignements et les connaissances. Notre
amie Andréa est de ceux là et c'est sur un forum ami
celui de "La ferme ouverte" qu'elle a placé tout le contenu de
son expérience personnelle sur les soins à apporter
à nos
volailles. Les problèmes de coccidioses, maladies respiratoires,
boiteries, parasites, abcès, prélèvements pour
laboratoires, la mue etc etc.
Tout cela c'est dans les numéros de MCF Magazine
Côté
institutionnel, voici sans doute le lien le plus important à
retenir si l'on souhaite s'informer au mieux
à propos de la grippe aviaire (influenza aviaire).
Il s'agit du site ouvert spécialement par l'Etat
français à
propos des risques de pandémie:
http://www.grippeaviaire.gouv.fr/
QUELQUES REPONSES IMPORTANTES A VOS QUESTIONS SUR L'INFLUENZA AVIAIRE ...
Date
de mise en ligne :
15 janvier 2005 > 17:05
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 11:07
En
raison du risque que présentent les
oiseaux migrateurs, chaque éleveur et chaque
propriétaire d’oiseau (de toute
espèce) doit éviter tout contact direct ou
indirect entre ses oiseaux
domestiques et les oiseaux sauvages.
Les
oiseaux domestiques doivent être
maintenus dans des bâtiments fermés, qui peuvent
être définis comme des espaces
clos comprenant au minimum un toit étanche et des parois
latérales interdisant
toute entrée d’oiseaux sauvages Les filets
posés au-dessus des parcours pourvu
que leurs supports ne permettent pas aux oiseaux sauvages de se poser
peuvent
constituer une alternative au confinement.
L’alimentation
et l’abreuvement des
oiseaux doivent se faire à l’intérieur
du bâtiment. Les bacs et matériels
utilisés pour l’alimentation et
l’abreuvement doivent être entreposés
à l’abri
également. Le but est d’éviter que des
fientes porteuses du virus ne
contaminent ce matériel qui pourrait à son tour
infecter les oiseaux.
Dès
que des cas sont détectés dans les
couloirs de migration des oiseaux sauvages transitant en France, des
mesures de
confinements (ou systèmes équivalents)
adaptées sont imposées par
arrêté
ministériel. Dans certaines zones dites à risque
particulier ou sur l’ensemble
du territoire si le niveau du risque le nécessite, tous les
oiseaux détenus par
des particuliers ou des éleveurs doivent être
confinés ou élevés dans des
conditions équivalentes (comme par exemple la pose de filets
au-dessus des
parcours), qu’il s’agisse de volailles ou gibier
d’élevage ou de basses-cours,
ou d’oiseaux d’agrément. Les volailles
des élevages professionnels qui ne
peuvent pas être confinées ou
protégés par des filets devront être
soumis à
certaines conditions sanitaires énoncées par un
guide spécifique appelé
« guide de bonnes pratiques
sanitaires » ; les espèces
d’oiseaux
d’ornement qui ne peuvent être
protégées par confinement ou pose de filets
devront être vaccinées suivant un protocole
approuvé officiellement.
Le
contrôle du confinement et des autres
mesures de protection est réalisé par les
services compétents (services
vétérinaires, gendarmerie, etc.) de
manière renforcée en fonction du risque
épidémiologique.
Date
de mise en ligne :
15 décembre 2005 > 17:08
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 12:07
Toute
personne, physique ou morale, doit
faire une déclaration en mairie pour indiquer le nombre
d’oiseaux et les
espèces qu’elle détient (poules,
cailles, pigeons, faisans, perdrix, oiseaux
d’ornement, dindes, pintades, canards, oies, ...).
Date
de mise en ligne :
21 février 2006 > 15:01
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:43
Contrairement
à d’autres maladies,
l’incubation de l’influenza aviaire est
très courte, de l’ordre de 2 à 3 jours.
Les principaux signes cliniques sont un mauvais état
général de l’oiseau, une
chute de l’appétit associés
à des symptômes respiratoires et digestifs et une
chute de la ponte. La mortalité peut atteindre 90
à 100 % des oiseaux de
l’élevage infecté en 48 heures. Les
lésions les plus significatives sont alors
celles d’une septicémie hémorragique.
Date
de mise en ligne :
22 février 2006 > 10:27
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:43
Il
existe plusieurs vaccins dans le
monde. Ils sont en général
utilisés :
---soit
préventivement quand il existe un très haut
risque d’infection qui ne peut être
maîtrisé par les seules mesures sanitaires
(impossibilité du confinement
d’oiseaux à très haut risque
d’être exposés au virus) ;
---soit
en
urgence dans des situations graves où la diffusion de la
maladie ne peut être
maîtrisée par les seules mesures sanitaires et que
le risque de propagation est
élevé.
Dans l’Union européenne, la lutte contre les
maladies épizootiques repose sur
un principe essentiel : la détection
précoce des foyers et leur
élimination. Par ailleurs, l’utilisation
préventive de la vaccination reste
exceptionnelle. Elle peut être autorisée par la
Commission européenne dans des
conditions très précises : cas des parcs
zoologiques, des élevages de
plein air ne pouvant être confinés. Dans ce cas,
elle s’accompagne de
protocoles de surveillance.
Date
de mise en ligne :
23 mars 2006 > 12:04
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:35
La
vaccination permet la protection des
oiseaux contre les symptômes de la maladie mais elle ne les
empêche pas
d’héberger le virus. Une contamination par le
virus est alors plus
difficilement détectable.
La vaccination est accompagnée de mesures de surveillance
strictes par le vétérinaire
de l’élevage, afin de confirmer que les oiseaux
vaccinés n’ont pas été en
contact avec le virus. Elle doit être
systématiquement complétée par un
suivi
post-vaccinal (prélèvements
sérologiques ou virologiques) réalisable
à petite
échelle, permettant de s’assurer
qu’aucun virus ne circule à bas bruit. Les
mesures de confinement et de biosécurité,
strictement appliquées, suffisent à
empêcher la contamination des élevages. Ces
mesures sont maintenant imposées à
tout le territoire. Il n’est donc pas justifié de
vacciner préventivement
toutes les volailles françaises.
Date
de mise en ligne :
23 mars 2006 > 14:21
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:46
Dans
le cas où l’élevage des animaux
comporte des parcours en plein air, la distribution d’aliment
peut attirer des
oiseaux sauvages. La distribution d’aliment à
l’intérieur minimise donc la
promiscuité entre oiseaux sauvages et domestiques, ce qui
vise à restreindre le
risque (estimé très faible par l’Afssa)
de passage de virus entre les espèces
sauvages et domestiques.
Date
de mise en ligne :
23 mars 2006 > 14:28
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:48
Oui,
car l’excrétion des virus Influenza
est importante dans les fientes contaminant ainsi les eaux de surface.
La
survie du virus dans les eaux douces de surface peut être de
plusieurs
semaines.
Compte tenu du risque représenté par les eaux de
surface, leur utilisation pour
l’abreuvement des volailles ou le nettoyage des
bâtiments est interdite.
Date
de mise en ligne :
23 mars 2006 > 14:31
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:49
Ils
évitent un contact étroit entre
oiseaux sauvages et oiseaux domestiques. Néanmoins, ils ne
doivent pas servir de
perchoir à la faune sauvage et faciliter la
retombée de fientes sur les
parcours des oiseaux domestiques.
Date
de mise en ligne :
23 mars 2006 > 12:07
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:50
La
maladie de Newcastle et l’influenza
aviaire sont dues à deux virus totalement
différents. Leurs symptômes sont
toutefois proches (prostration, torticolis, signes nerveux) et leur
distinction
ne peut se faire que par l’examen en laboratoire pour
permettre de différencier
les virus sans ambiguïté. Il est à noter
que la maladie de Newcastle n’est pas
transmissible à l’homme.
Date
de mise en ligne :
5 mai 2006 > 11:45
Dernière
modification
de cet article : 15 novembre 2006 > 10:29
La
contamination entre oiseaux se fait
essentiellement par contact direct (matières
fécales et secrétions
respiratoires), mais elle peut être aussi indirecte par
l’intermédiaire d’aliments
ou d’eau pour oiseaux, qui auraient pu être
accidentellement contaminés par des
fientes d’oiseaux sauvages porteurs du virus, ou encore par
divers matériels
contaminés (vêtements, chaussures,
véhicules de transport, cages, cartons,
paille, ...).
La
voie d’entrée du virus dans
l’organisme de l’oiseau est la voie respiratoire,
mais la voie digestive est
également possible car le système digestif des
oiseaux, contrairement à celui
de l’homme, ne permet pas la destruction de ce virus.
Date
de mise en ligne :
5 mai 2006 > 15:09
Dernière
modification
de cet article : 20 avril 2007 > 09:49
Le
virus de l’influenza aviaire de type
A (H5N1) peut se transmettre de l’animal à
l’homme comme le montre le phénomène
observé depuis janvier 2004 en Asie et en Turquie en 2006.
Un phénomène
semblable de transmission d’un virus aviaire à
l’homme a été observé en
Chine
en 1997 (« grippe du poulet à
HongKong ») avec un virus A (H5N1) et
aux Pays-Bas au printemps 2003 avec un virus A (H7N7).
La contamination est aérienne et se fait essentiellement
lors de
contacts
étroits, prolongés et
répétés dans
des espaces confinés avec des
sécrétions
respiratoires ou des déjections d’animaux
infectés.
Elle peut se faire de façon
directe ou indirecte (par l’intermédiaire des
surfaces
et/ou des mains
souillées par les déjections). Mais toutes les
personnes
exposées au virus ne
tombent pas malades ; en effet, la maladie de
l’homme, la
grippe aviaire,
provoquée par un virus influenza non modifié,
issu
d’un animal reste un
phénomène rare.
L’absence de maîtrise des épizooties
d’influenza aviaire, c’est à dire la
multiplication des foyers animaux dans le temps et dans
l’espace, favorise les
cas de transmission du virus aviaire à l’homme et
augmente la probabilité de
l’apparition d’un nouveau type de virus susceptible
de s’adapter plus
facilement à l’homme. Ce mécanisme
faciliterait la transmission inter humaine
de ce nouveau type de virus, avec le risque
d’épidémie voire de pandémie
qui en
découle.
Date
de mise en ligne :
5 mai 2006 > 15:11
Dernière
modification
de cet article : 20 avril 2007 > 09:50
Une
transmission secondaire d’homme à
homme est possible mais reste exceptionnelle (3 cas intra-familiaux
documentés
aux Pays-Bas au printemps 2003 avec le virus A (H7N7)).
L’Organisation mondiale
de la santé (OMS) avait annoncé au mois de juin
2006 qu’un cas de transmission
inter humaine du virus de la grippe aviaire A(H5N1) en
Indonésie avait été
confirmé pour la première fois par des examens de
laboratoire au nord de l’île
de Sumatra, dans le district de Karo. La transmission de ce virus
était restée
néanmoins limitée, localisée et non
prolongée. Depuis cette date aucun autre
cas n’est à déplorer sur
l’île de Sumatra.
Date
de mise en ligne :
5 mai 2006 > 12:10
Dernière
modification
de cet article : 20 avril 2007 > 11:08
La
production et la mise sur le marché
des volailles et des œufs sont soumises à un
ensemble de conditions sanitaires
harmonisées au niveau de l’Union
européenne ; certaines concernent en
particulier l’influenza aviaire.
Ainsi,
lorsqu’un élevage de volailles en
France ou dans un autre Etat membre de l’Union
européenne est déclaré suspect
d’être atteint par le virus de
l’influenza aviaire, tous les oiseaux de
l’élevage concerné et tous leurs
produits sont consignés. Si, par la suite, le
foyer est confirmé, les oiseaux sont euthanasiés
et leurs produits encore
présents sur l’exploitation sont
détruits. Les œufs et viandes issus
d’animaux
sortis de l’exploitation avant la déclaration de
suspicion et susceptibles
d’être contaminés font l’objet
d’un retrait.
De
même les produits d’origine avicole
et les volailles issus des pays atteints sont interdits
d’importation sur
l’ensemble du territoire de l’Union
européenne et ceci est contrôlé par les
services vétérinaires et les douanes de tous les
Etats membres.
Compte
tenu de ces mesures, des
caractéristiques du virus et du fait que la contamination de
l’Homme par voie
digestive n’est pas formellement
démontrée, l’Agence
française de sécurité
sanitaire des aliments (AFSSA) considère que même
en l’absence de cuisson le
risque de contamination de l’Homme par ingestion
d’œufs, de viandes de poulets,
dindes, pintades, faisans, perdrix, cailles ou pigeons, issus
d’élevage
professionnel, est nul.
Elle
considère qu’en l’absence de
cuisson, le risque de contamination de l’Homme par ingestion
des viandes des
oiseaux d’autres espèces et des produits issus des
élevages de basse cour est
nul à négligeable, et que, lorsque ces
denrées sont cuites, le risque est nul.
Enfin,
elle ne recommande pas de mesures
particulières concernant la consommation de ces produits
mais rappelle
l’importance du respect des mesures
d’hygiène générale
habituelles lors de la
préparation des volailles, notamment la plumaison et
l’éviscération, et de la
manipulation des denrées
Date
de mise en ligne :
5 mai 2006 > 12:14
Dernière
modification
de cet article : 20 avril 2007 > 11:10
Informations du 06 février 2007 :
http://www.legifrance.gouv.fr/imagesJOE/2007/0206/joe_20070206_0031_0021.pdf
Nous communiquons dans cette page:
le
contenu des deux Arrêtés Ministériels
relatifs à la
protection
sanitaire des oiseaux élevés sur le territoire
français,
les
divers liens utiles vers les principaux sites qui traitent de la
Sécurité
Sanitaire, de la Santé animale etc.
et les informations sur la Grippe aviaire du Ministère de l'Agriculture par ce lien:
http://www.agriculture.gouv.fr/spip/actualites_a5370.html
http://marans-club.club.fr/arrete.htm
Nos liens vers tous les SITES UTILES pour votre information : |
||||
Premier Ministre | ||||
Ministère de la Santé | ||||
Ministère de l'Agriculture et de la Pêche | ||||
Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) | ||||
Institut national de veille sanitaire (INVS) | ||||
Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) | ||||
Institut Pasteur | ||||
Centre d'information des viandes (CIV) | ||||
ProNaturA France |
Organisation mondiale de la Santé animale (OIE) | ||||
Organisation mondiale de la Santé (OMS) | ||||
Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture ( FAO) | ||||
Le portail de l'Union européenne |
J.O
n° 249 du 25 octobre 2005 page 16857
texte n° 31
Décrets, arrêtés, circulaires
Textes généraux
Ministère de l'agriculture et de la pêche
Arrêté
du 24 octobre 2005 relatif à des mesures de protection des
oiseaux
vis-à-vis de l'influenza aviaire
NOR: AGRG0502385A
Le ministre de l'agriculture et de la pêche,
Vu le titre II du livre II du code rural, notamment les articles
L. 221-1, L. 221-11, L. 221-12, D. 223-22, R. 228-1 et R. 228-7 ;
Vu la décision 2005/734/CE de la Commission du 19 octobre
2005
modifiée arrêtant des mesures de
biosécurité destinées à
limiter le risque de transmission aux volailles et autres oiseaux
captifs, par des oiseaux vivant à l'état sauvage,
de l'influenza
aviaire hautement pathogène causée par le
sous-type H5N1 du
virus influenza A et établissant un système de
détection
précoce dans les zones particulièrement
exposées ;
Vu l'arrêté du 24 octobre 2005 pris pour
l'application de l'article
L. 221-1 du code rural ;
Vu l'avis de l'Agence française de
sécurité sanitaire des
aliments en date du 21 octobre 2005, Arrête :
Article 1
Tout propriétaire ou détenteur d'oiseaux doit prendre les mesures nécessaires afin de prévenir tout contact direct ou indirect avec les oiseaux vivant à l'état sauvage.
Article 2
L'utilisation
d'eaux de surface pour le nettoyage des bâtiments et des
matériels d'élevage ainsi que pour l'abreuvement
des oiseaux
est interdite, à moins que cette eau n'ait
été traitée pour
assurer l'inactivation d'un éventuel virus.
Lorsqu'ils sont nécessaires pour des raisons de
bien-être
animal, les points d'eau extérieurs accessibles aux oiseaux
doivent être protégés de
façon qu'ils ne soient pas
accessibles aux oiseaux sauvages.
Article 3
Dans les départements dont la liste figure en annexe, les oiseaux doivent être maintenus à l'intérieur de bâtiments fermés.Lorsque ce maintien n'est pas praticable, l'approvisionnement des oiseaux en aliments et en eau de boisson doit se faire à l'intérieur d'un bâtiment ou au moyen de distributeurs protégés de telle façon que les oiseaux sauvages ne puissent accéder à ces dispositifs ni les souiller. En outre, dans ce cas, le détenteur des oiseaux doit faire procéder à une visite par un vétérinaire sanitaire dans un délai d'un mois à compter de la publication du présent arrêté.
Article 4
Dans les autres départements, l'approvisionnement des oiseaux en aliments et en eau de boisson doit se faire à l'intérieur d'un bâtiment ou au moyen de distributeurs protégés de telle façon que les oiseaux sauvages ne puissent accéder à ces dispositifs ni les souiller.
Article 5
Tout rassemblement d'oiseaux, en particulier à l'occasion de foires, marchés, expositions, concours, est interdit. Toutefois, dans les départements autres que ceux figurant sur la liste annexée au présent arrêté, le préfet peut accorder une dérogation à cette interdiction, qui est subordonnée au respect de conditions sanitaires précisées par instruction du ministre chargé de l'agriculture.
Article 6
Les dispositions du présent arrêté sont applicables jusqu'au 1er décembre 2005.
Article 7
Le
présent arrêté sera publié
au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 24 octobre 2005.
Dominique Bussereau
A
N N E X E
LISTE DES DÉPARTEMENTS MENTIONNÉS À
L'ARTICLE 3
01 : Ain.10 : Aube.13 : Bouches-du-Rhône.17 :
Charente-Maritime.2
B : Haute-Corse.30 : Gard.33 : Gironde.35 : Ille-et-Vilaine.36 :
Indre.
40 : Landes.44 : Loire-Atlantique.50 : Manche.51 : Marne.52 :
Haute-Marne.54 : Meurthe-et-Moselle.55 : Meuse.67 : Bas-Rhin.68 :
Haut-Rhin.
76 : Seine-Maritime.80 : Somme.85 : Vendée.
J.O
n° 278 du 30 novembre 2005 page 18537
texte n° 45
Décrets, arrêtés, circulaires
Textes généraux
Ministère de l'agriculture et de la pêche
Arrêté
du 29 novembre 2005 modifiant l'arrêté du 24
octobre 2005
relatif à des mesures de protection des oiseaux
vis-à-vis de l'influenza
aviaire
NOR: AGRG0502646A
Le
ministre de l'agriculture et de la pêche,
Vu le titre II du livre II du code rural, notamment les articles
L. 221-1, L. 221-11, L. 221-12, D. 223-22, R. 228-1 et R. 228-7 ;
Vu la décision 2005/734/CE de la Commission du 19 octobre
2005
modifiée arrêtant des mesures de
biosécurité destinées à
limiter le risque de transmission aux volailles et aux autres
oiseaux captifs, par des oiseaux vivant à l'état
sauvage, de l'influenza
aviaire hautement pathogène causée par le
sous-type H5N1 du
virus influenza A et établissant un système de
détection
précoce dans les zones particulièrement
exposées ;
Vu l'arrêté du 24 octobre 2005 pris pour
l'application de l'article
L. 221-1 du code rural ;
Vu l'arrêté du 24 octobre 2005 relatif
à des mesures de
protection des oiseaux vis-à-vis de l'influenza aviaire ;
Vu l'avis de l'Agence française de
sécurité sanitaire des
aliments en date du 21 octobre 2005, Arrête :
Article 1
L'article
6 de l'arrêté du 24 octobre 2005
susvisé est remplacé par les
dispositions suivantes :
« Art. 6. - Les
dispositions du présent
arrêté sont applicables jusqu'au 31 mai 2006.
»
Article 2
Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait
à Paris, le 29 novembre 2005.
Dominique Bussereau
©
copyright MCF 2001/2014
all rights reserved